Les enquêtes doivent continuer, estiment les membres de la Commission nationale d'investigation sur la corruption et la malversation (Cnicm).


Les activités de la Cnicm sont interrompues depuis le décès le 2 janvier de son président, Abdelfattah Amor. Ses membres ont appelé, lundi, les pouvoirs publics à accélérer la décision pour la reprise des activités de cette structure.

La commission a toutefois annoncé la poursuite de la réception des dossiers et des demandes relatifs aux affaires de corruption et de malversation. En attendant la décision des pouvoirs publics pour en assurer le suivi.