Quand j’étais jeune (soupir), il m’arrivait de rentrer déjeuner à la maison entre deux cours. A l’époque, nous n’avions pas d’antenne parabolique et la seule distraction de la mi-journée était l’inspecteur Derrick, série policière allemande des années 60 qui passait tous les jours sur A2.
Derrick, grand philosophe impassible, se posait toujours les bonnes questions pour résoudre des affaires complexes. Un crime devait toujours finir par profiter à quelqu’un, il suffisait donc de déterminer le bénéficiaire du crime pour trouver le criminel. Élémentaire mon cher Watson, n’est-ce pas?
La question de savoir à qui profite une action est essentielle quand les choses ne sont pas évidentes, comme c’est le cas actuellement en Tunisie. En effet, nous assistons depuis quelques temps à une suite d’agressions graves perpétrées par des «barbus» qui ont la manie intrigante de gueuler «Allahou Akbar» avant de s’attaquer à leur proie. La menace islamiste semble enfler de jour en jour, les gens paniquent et en appellent à la police, à l’ordre et à la sécurité. Du déjà vu tout ça mon cher Watson, n’est-ce pas?
Quand vous combinez la question de savoir à qui peut profiter un crime et l’hyper-signification des indices laissés au grand jour par le criminel vous pouvez être amenés à en déduire que le criminel n’est pas celui qu’on veut bien vous pousser à soupçonner.
Il se trouve aujourd’hui que les islamistes sont les derniers à vouloir se faire une mauvaise réputation sachant qu’une partie non négligeable de l’électorat leur étant déjà acquise, pourquoi iraient-ils bousiller leurs chances?
Ceux qui ne veulent surtout pas avoir des comptes à rendre un jour sont ceux à qui profite le crime. Parole de Derrick!
Source : ‘‘Mental Madness’’.
Les vrais faux islamistes en Tunisie
Samih Cherif écrit – Cherchez qui a intérêt à faire accréditer l’existence d’une menace islamiste en Tunisie, et vous découvrirez la véritable identité des «barbus» qui agressent les gens dans les rues.
Quand j’étais jeune (soupir), il m’arrivait de rentrer déjeuner à la maison entre deux cours. A l’époque, nous n’avions pas d’antenne parabolique et la seule distraction de la mi-journée était l’inspecteur Derrick, série policière allemande des années 60 qui passait tous les jours sur A2.
Derrick, grand philosophe impassible, se posait toujours les bonnes questions pour résoudre des affaires complexes. Un crime devait toujours finir par profiter à quelqu’un, il suffisait donc de déterminer le bénéficiaire du crime pour trouver le criminel. Élémentaire mon cher Watson, n’est-ce pas?
La question de savoir à qui profite une action est essentielle quand les choses ne sont pas évidentes, comme c’est le cas actuellement en Tunisie. En effet, nous assistons depuis quelques temps à une suite d’agressions graves perpétrées par des «barbus» qui ont la manie intrigante de gueuler «Allahou Akbar» avant de s’attaquer à leur proie. La menace islamiste semble enfler de jour en jour, les gens paniquent et en appellent à la police, à l’ordre et à la sécurité. Du déjà vu tout ça mon cher Watson, n’est-ce pas?
Quand vous combinez la question de savoir à qui peut profiter un crime et l’hyper-signification des indices laissés au grand jour par le criminel vous pouvez être amenés à en déduire que le criminel n’est pas celui qu’on veut bien vous pousser à soupçonner.
Il se trouve aujourd’hui que les islamistes sont les derniers à vouloir se faire une mauvaise réputation sachant qu’une partie non négligeable de l’électorat leur étant déjà acquise, pourquoi iraient-ils bousiller leurs chances?
Ceux qui ne veulent surtout pas avoir des comptes à rendre un jour sont ceux à qui profite le crime. Parole de Derrick!
Source : ‘‘Mental Madness’’ http://www.mentalmadness.com/2011/04/wo-ist-inspektor-derrick.html