La semaine dernière, les gardes-côtes tunisiens ont arraisonné, au large de Tabarka, une barque avec à son bord 36 jeunes harragas algériens.
Selon les médias algériens, les familles de ces clandestins assiègent depuis le consulat de Tunisie à Annaba. Ils cherchent à savoir si leurs fils, portés disparus depuis lundi, sont effectivement entre les mains de la police tunisienne ou s’ils ont déjà été remis, après identification, aux autorités algériennes.
Tout devrait s’éclaircir aujourd’hui.