La Tunisienne, Amina Sboui, ex-Femen, réfugiée en France, a été placée en garde à vue, aujourd’hui, à Paris, pour «dénonciations d’un délit imaginaire».
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La jeune fille avait affirmé, le 7 juillet dernier, avoir été agressée par des islamistes à Clichy (Paris), évoquant même une tentative de viol. Elle avait posté, sur sa page Facebook, un selfie avec les sourcils rasés, et accusé ses agresseurs de lui avoir causé ce tort pour «lui enlever la beauté que Dieu lui avait donnée, mais qu’elle ne méritait pas», avait-elle écrit. Selon nos confrères de ‘‘20 Minutes.fr’’, Amina a été convoquée ce matin, mardi 15 juillet 2014, par le Département d’investigation judiciaire (DIJ) de la Brigade des réseaux ferrés (BRF), mais en racontant de nouveau son «histoire», la Tunisienne en a changé la version. La police, qui a eu des doutes sur ce qu’elle a avancé, a décidé de la maintenir en garde-à-vue, d’autant que les vidéos des caméras de surveillance de la place Clichy n’ont enregistré aucune agression le soir indiqué. Amina, devenu accroc des médias, a-t-elle inventé toute cette histoire pour le buzz? Si c'est le cas, c'est d'un psy qu'elle a désormais besoin. Y. N. M. |
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