Les 7 prévenus, dont certains ont participé aux combats dans les rangs des jihadistes en Syrie, surveillaient des responsables sécuritaires résidant dans la banlieue nord de Tunis qu'ils projetaient de prendre pour cible ultérieurement, a précisé le ministère de l'Intérieur, dans un communiqué publié le mardi 17 mars 2015.

La cellule qualifiée de «takfiriste» opérait en étroite coordination avec de «dangereux éléments terroristes tunisiens actifs en Syrie et chargés, avec l'aide d'autres terroristes de différentes nationalités, de recruter des jeunes pour combattre» dans ce pays, ajoute le communiqué.

Il précise, par ailleurs, que des armes blanches, des équipements militaires, des téléphones portables, une unité centrale d'ordinateur et un camescope ont été saisis lors de cette opération.

I. B.