La Belgique a décidé de mettre un million d’euros (1,9 millions de dinars) à la disposition du Comité international de la Croix-Rouge (Cicr) pour répondre à la crise humanitaire à la frontière tuniso-libyenne.


La crise a été provoquée par l’exode massif des déplacés fuyant les combats en Libye et «dont la situation, malgré l’aide formidable apportée par la population tunisienne sur place, reste précaire», note un communiqué rendu public aujourd’hui.
Le communiqué ajoute que «le gouvernement belge a mis à disposition un Airbus A330 de la défense nationale pour contribuer au pont aérien mis en place par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (Hcr) et l’Organisation internationale pour les migrations (Oim) en vue d’évacuer les réfugiés à la frontière entre la Tunisie et la Libye.
L’avion permettra de rapatrier jusqu'à 2.500 réfugiés, dans un premier temps égyptiens, ghanéens, etc., ensuite en fonction des besoins. La décision de la Belgique a été prise dans le cadre d’une demande de l’Union européenne (UE) visant à répondre aux conséquences humanitaires de la crise dans la région.

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La Belgique met 1 million d’euros pour secourir les réfugiés à Ras Jedir

La Belgique a décidé de mettre un million d’euros (1,9 millions de dinars) à la disposition du Comité international de la Croix-Rouge (Cicr) pour répondre à la crise humanitaire à la frontière tuniso-libyenne.

La crise a été provoquée par l’exode massif des déplacés fuyant les combats en Libye et «dont la situation, malgré l’aide formidable apportée par la population tunisienne sur place, reste précaire», note un communiqué rendu public aujourd’hui.

Le communiqué ajoute que «le gouvernement belge a mis à disposition un Airbus A330 de la défense nationale pour contribuer au pont aérien mis en place par le Haut commissariat des Nations unies pour les réfugiés (Hcr) et l’Organisation internationale pour les migrations (Oim) en vue d’évacuer les réfugiés à la frontière entre la Tunisie et la Libye.

L’avion permettra de rapatrier jusqu'à 2.500 réfugiés, dans un premier temps égyptiens, ghanéens, etc., ensuite en fonction des besoins. La décision de la Belgique a été prise dans le cadre d’une demande de l’Union européenne (UE) visant à répondre aux conséquences humanitaires de la crise dans la région.