Autant le geste des manifestants est compréhensible, car ils ont peur de perdre leur travail dans le cas où ce groupe, actif dans le Btp et la promotion immobilière, connaît des turbulences financières liées aux problèmes de son fondateur et patron avec la justice, autant l’opinion publique est soucieuse de voir la justice passer au peigne fin les dossiers de la corruption de l’ancien régime. Si M. Kobbi n’a rien à se reprocher, et c’est tout le bien que lui souhaite tous les Tunisiens, il sera libéré et il continuera à gérer ses activités professionnelles.
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