Au cours de cette rencontre, organisée dans le cadre de la conférence des chefs des missions diplomatiques et consulaires, le ministre a indiqué que la part du tourisme dans le produit intérieur brut (Pib) tunisien est de 7% et le secteur offre 400.000 emplois directs et indirects. Sa part dans la couverture du déficit de la balance commerciale s’est établie, en 2009, à 55,6%.
Le programme présidentiel 2009-2014 vise à attirer 10 millions de touristes par an à la fin du quinquennat, contre un peu plus de 6 millions aujourd’hui, de doubler le nombre des nuitées des Tunisiens et réaliser un meilleur rendement des activités.
Pour ce faire, une étude stratégique a été réalisée en vue de promouvoir le secteur à l’orée de 2016. Cette étude a permis de fixer 5 grandes orientations relatives à la qualité du produit touristique, à la commercialisation, aux technologies de l’information et de la communication (Tic), à l’endettement des unités touristiques et au cadre institutionnel et législatif.
Source: dépêche Tap
Tunisie. 10 millions de touristes en 2014
M. Slim Tlatli, ministre du Tourisme, a rencontré, jeudi 5 juillet, à Tunis, plusieurs chefs de missions diplomatiques et consulaires tunisiennes.
Au cours de cette rencontre, organisée dans le cadre de la conférence des chefs des missions diplomatiques et consulaires, le ministre a indiqué que la part du tourisme dans le produit intérieur brut (Pib) tunisien est de 7% et le secteur offre 400.000 emplois directs et indirects. Sa part dans la couverture du déficit de la balance commerciale s’est établie, en 2009, à 55,6%.
Le programme présidentiel 2009-2014 vise à attirer 10 millions de touristes par an à la fin du quinquennat, contre un peu plus de 6 millions aujourd’hui, de doubler le nombre des nuitées des Tunisiens et réaliser un meilleur rendement des activités.
Pour ce faire, une étude stratégique a été réalisée en vue de promouvoir le secteur à l’orée de 2016. Cette étude a permis de fixer 5 grandes orientations relatives à la qualité du produit touristique, à la commercialisation, aux technologies de l’information et de la communication (Tic), à l’endettement des unités touristiques et au cadre institutionnel et législatif.
