L’ancien chef de cabinet du ministre des Affaires religieuses Tarek Harabi n’a pas été limogé comme relayé dans plusieurs médias.
Désigné chef de cabinet du ministre des Affaires religieuses, en avril 2015, Tarek Harabi a préféré reprendre son métier comme juge au tribunal administratif et présenté sa démission, depuis janvier dernier, au moment de la nomination d’un nouveau ministre la tête de ce département, Mohamed Khalil en l’occurrence.
Cette démission ayant été acceptée assez tardivement par le nouveau ministre, cela a laissé croire que Tarek Harabi a été limogé. Certains médias ont même rajouté une couche en prétendant que l’intéressé a été démis de ses fonctions parce qu’il était derrière le limogeage de Ridha Jaouadi, l’ex-imam de la moquée Nakhli à Sfax. Et que c’est Ennahdha qui a demandé et obtenu son départ. Or, il n’en est rien, assure-t-on dans l’entourage du nouveau ministre.
Tarek Harrabi est spécialiste en droit et a occupé plusieurs fonctions au sein du ministère de la Justice et de l’Enseignement supérieur.
Z. A.
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