Bonnes feuilles : Néolibéralisme, exclusion et replis identitaires

Universitaire tunisien ayant fait toute sa carrière en France et auteur de nombreux ouvrages sur des thématiques politico-historiques, dont les lecteurs de Kapitalis apprécient les fréquentes analyses sur la situation en Tunisie et dans le monde, l’auteur vient de publier un nouvel essai intitulé «Néolibéralisme & Révolution conservatrice» aux éditions Nirvana à Tunis (parution prévue le 29 octobre 2021). Nous en publions cet extrait en guise de bonnes feuilles et pour vous en donner un avant-goût. Par Mohamed Chérif Ferjani *

Tunisie : Un huissier notaire condamné à perpétuité pour fraude de décisions judiciaires

Le parquet près du Tribunal de première instance de Tunis a émis hier, mardi 26 octobre 2021, un mandat de dépôt contre un huissier notaire suspendu, pour appliquer une sentence prononcée à son encontre par contumace, qui consiste à l’emprisonnement à vie, en plus de 24 ans supplémentaires, pour fraude de décisions judiciaires.

Tennis : La Tunisienne Ons Jabeur désormais septième mondiale

Malgré la blessure qui l’a contrainte à déclarer forfait, il y a une semaine, au tournoi de Mouscou, et qui l’a privée de participer à l’open de Courmayeur, cette semaine, la joueuse de tennis tunisienne, Ons Jabeur, a encore gagné une position au classement WTA mis à jour ce mercredi 27 octobre 2021, et ce, sans doute grâce à ses résultats antérieurs.

Najla Bouden, victime des réactionnaires francophobes

Les Tunisiens préfèrent-ils un baratineur arabophone médiocre et entretenant un discours identitaire francophobe à un francophone efficace et compétent comme l’estime l’auteur? Les attaques et le dénigrement dont fait l’objet la cheffe du gouvernement Najla Bouden, francophone et pas très à l’aise en arabe classique, le prouvent. Pourquoi beaucoup de Tunisiens érigent-ils cette imaginaire identité arabo-musulmane en dogme? Par Mohamed Sadok Lejri *

Tunisie : Les dérives de la guerre contre la corruption

Les réseaux sociaux sont devenus un espace où se livre une sorte de guerre de tous contre tous et où tous les coups sont permis : insultes, dénigrements, rumeurs, mensonges, désinformations, offenses, atteintes à l’honneur… En Tunisie, ce phénomène a pris une telle ampleur qu’il en devient une menace pour la paix et l’ordre publics, d’autant que le président Kaïs Saïed semble s’être laissé prendre à ce jeu malsain, lui donnant le crédit lié à son magistère présidentiel. Par Ridha Kéfi

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