Selon Houcine Abassi, il n’est pas question d’abandonner les revendications sociales parce que le pays fait face à crise économique.
Des experts économiques ont qualifié d’«exagérées» et d’«alarmistes» les déclarations des responsables du gouvernement sur la situation financière difficile en Tunisie.
Le chef du gouvernement provisoire Mehdi Jomaâ a dû faire un emprunt de 350 millions de dinars (MD) pour payer le salaire des fonctionnaires du mois d’avril.
La justice suisse a décidé la restitution d’une partie des fonds du clan Ben Ali à la Tunisie. Ils avaient été gelés en 2011, suite de la révolution.
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