Moez Ben Salem Et si les massacres perpétrés samedi à Homs par l’armée syrienne sur d’innocents citoyens étaient comme ceux de Timisoara en Roumanie, il y a 22 ans : une mystification ?

«La liberté pour nous et pour les autres», in memoriam Mahmûd Muhammad Taha (1909-1985), le penseur réformiste soudanais condamné à mort pour apostasie et exécuté par les sbires de l’ex-président Jaafar al-Nimayri.

Par Néjib Baccouchi* (Traduit de l’arabe par Abdelatif Ben Salem)

Moncef Dlimi* écrit - Caïd Essebsi s’est employé à conserver à la Tunisie sa vocation de pays tolérant et tourné vers la modernité. C’est au nouveau gouvernement de ramener la sécurité et de reconstruire l’économie.

«La liberté pour nous et pour les autres», in memoriam Mahmûd Muhammad Taha (1909-1985), le penseur réformiste soudanais condamné à mort pour apostasie et exécuté par les sbires de l’ex-président Jaafar al-Nimayri.

Par Néjib Baccouchi* (Traduit de l’arabe par Abdelatif Ben Salem)

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