Le secteur privé tunisien a contribué au gaspillage des ressources humaines et matérielles et à la fragilisation de l’économie nationale basée sur l’exploitation des ressources naturelles.

Les unités de production du Groupe chimique tunisien (Gct) à Gabès (littoral sud-est) ont repris,  progressivement leurs activités, le week-end, après une interruption de travail d’environ un mois.

Le chiffre d’affaires de Carthage Cement a atteint 14,5 millions de dinars (MD) jusqu’au 30 juin, soit une hausse de 38% par rapport à la même période de 2010 (10,5 MD). Son endettement a atteint, cependant 169,5 MD.

Les opérateurs économiques allemands portent leurs soucis et doléances au Premier ministre du gouvernement provisoire.

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