Farhat Rajhi, l’ex-ministre de l’Intérieur, a présenté ses excuses au peuple tunisien, à l’armée nationale et à son patron, le général Rachid Ammar, pour les déclarations qu’il a faites début mai.


«On ne peut pas demander à un gouvernement de transition de changer radicalement le pays. Ceux qui seront élus le 24 juillet auront à répondre aux attentes du peuple», déclare Mustapha Ben Jaafar.
Par Zohra Abid


Nouveau parti centriste, vaguement islamiste, l’Alliance nationale pour la paix et la prospérité (Anpp) veut faire de la Tunisie la Singapour des rives sud de la Méditerranée.


Une analyse psychologique des Tunisiens aux prises avec leur révolution. De la peur à la renaissance, en passant par le déni, la négociation et la dépression.
Par Noureddine Kridis*

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