Il faut mettre fin au chantage entre la liberté et le chaos ou entre la stabilité économique et l’insécurité, souligne ici Abderrazak
Lejri, ingénieur informaticien et chef d’entreprise.


Aussi inattendu que cela puisse paraître, le premier à avoir serré hier la main de Béji Caïd Essebsi, Premier ministre du gouvernement provisoire depuis deux jours, c’est Abdesselam Jrad, secrétaire général de l’Union générale tunisienne du travail (Ugtt).


«Le temps presse. Commencez tout de suite! Méritez notre confiance car, comme le destin, elle ne sonnera pas deux fois à votre porte», dit Ferid Belhaj au nouveau Premier ministre et lui propose une feuille de route.  


Les révolutions arabes doivent poursuivre un projet politique, social et culturel, qui recueille l’adhésion de tous les «Arabes, hommes et femmes» indépendamment des confessions, des religions, des tribus et des régions.
Par Nabil El-Haggar*

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