Une opération anti-Assad composée d’opposants au régime, appuyés par des commandos américains, israéliens et jordaniens, a commencé depuis la mi-août.
Beji Caïd Essebsi et Hamma Hammami, les deux poids lourds de l'opposition tunisienne, ont fermement rejeté la soi-disant proposition d'Ennahdha pour revenir à la table du dialogue national.
Mohsen Marzouk, membre du bureau politique de Nida Tounes, appelle ses camarades à la prudence, à prendre les déclarations de Rached Ghannouchi avec des pincettes et à ne pas se réjouir rapidement d'une position encore floue.
Dès l’annonce de l’acceptation par Ennahdha de l’initiative de l’UGTT pour sortir de la crise, les dirigeants du parti islamiste ont pris d’assaut les médias pour affirmer que la position de leur parti n’a pas été bien comprise.
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