Depuis la révélation, mardi, par nos confrères de Nawaat d'une affaire de trafic d'armes présumée par un appareil parallèle lié à Ennahdha, le parti islamiste au pouvoir observe un inexplicable silence.

Le ministère de l'Intérieur n'a pas autorisé le sit-in du 11 janvier devant l'Assemblée nationale constituante (Anc) programmé par Hizb Ettahrir pour protester contre la nouvelle constitution qui a tourné le dos à la chariâ.

Le parti islamiste radical Hizb Ettahrir revient à la charge pour exiger l'inscription de la chariâ dans le texte de la constitution tunisienne, en cours de rédaction au sein de l'Assemblée nationale constituante (Anc).

Rafik Abdessalem restera à la tête de la diplomatie tunisienne (Habib Ellouze)Le ministre des Affaires étrangère Rafik Abdessalem ne sera pas concerné par le prochain remaniement ministériel. Ennahdha a jugé bon de le garder, car il a brillé par sa compétence et sa transparence.

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