C’est une revendication de la société civile et une recommandation des partenaires de la Tunisie, notamment l’Union européenne et la Banque Mondiale: mettre l’administration tunisienne à l’heure du gouvernement ouvert.

«Tant que ces lois répressives de l’ère Ben Ali sont en vigueur, les autorités seront tentées de les utiliser à chaque fois que cela les arrange politiquement», estime une responsable Human Rights Watch (Hrw).

Après l’agression des chômeurs qui ont manifesté samedi matin à Tunis, l’Ugtt et la Ltdh interpellent le ministère de l’Intérieur, qui invoque sa décision de ne pas autoriser cette manifestation.

Un groupe libyen armé a kidnappé, samedi après-midi, cinq Tunisiens qui faisaient du commerce illégal d’hydrocarbures entre les deux pays.

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