Saïda Agrebi, qui a été arrêtée lundi à l’aéroport de Roissy-Charles De Gaule alors qu’elle s’apprêtait à quitter la France, a été relaxée aujourd’hui après avoir été entendue par le juge d’instruction français.

«Les mutations rapides que connaît le monde ont favorisé l’émergence d’une vague de libertés qui a été accompagnée d’un climat d’insécurité et d’instabilité», estime le ministre de l’Intérieur Ali Laârayedh.

14 mois après la révolution, il y a encore du doute sur la liste des blessés et martyrs. 17 blessés seront soignés à l’étranger et pris en charge par des pays amis.

«Le président de la république n’a pas proposé d’accorder l’asile politique au président El Assad. Il a déclaré qu’en cas de refus des autres pays, la Tunisie serait prête à l’accueillir dans le cadre d’une solution de la crise syrienne».

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