«Il faut garantir les droits et libertés fondamentaux dans les articles de la constitution, et non seulement dans le préambule ou les dispositions générales, bien que le préambule revêt une force obligatoire».

Les doyens des facultés des lettres et des sciences humaines de Tunis, Sfax, Manouba, Sousse et Kairouan montent au créneau et rappellent le ministère de l’Enseignement supérieur à ses responsabilités.

C’est ce qui circule sur les réseaux sociaux : les assassins seraient trois hommes d’un groupe salafiste jihadiste. Mais l’information serait tenue secrète par le gouvernement.

Le 3e congrès du mouvement Ettajdid (ex-Parti communiste tunisien) n’a pas enregistré de surprise. La direction nationale a été reconduite avec, à sa tête, l’inamovible Ahmed Brahim.

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