Rares ceux qui ont été convaincus par le discours du Premier ministre Béji Caïd prononcé jeudi au Palais des congrès de Tunis. Certains se disaient même déçus. Le porte-parole de l’Anpp en est un.

Le Parti ouvrier communiste tunisien (Poct) n’a pas assisté jeudi au discours de Béji Caïd Essebsi, Premier ministre au gouvernement provisoire, et il n’était pas le seul. Pourquoi?

Dans la nuit de samedi dimanche (13 au 14 août), l’armée nationale, en état d’alerte maximale sur les frontières tuniso-libyennes, a enregistré l’arrivée de 40 blessés du camp des insurgés.

Au lendemain de la révolution, des archives de l’Agence tunisienne de communication (Atce) ont été détruites. Sept mois après, un dossier impliquant ses anciens dirigeants est sur le bureau du juge d’instruction.

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