Si les Tunisiens ne cessent de crier leur colère, c’est parce qu’ils ont perdu confiance dans le gouvernement et dans l’information officielle.

Olivier Besancenot, porte parole du Nouvel parti anticapitaliste français, se rendra en Tunisie, mardi et mercredi, pour soutenir le processus révolutionnaire après ben Ali.

C’est sur Facebook que des dizaines de milliers de personnes ont lancé un appel à un rassemblement pacifique, demain, à 15h30, devant le Théâtre municipal de Tunis «pour défendre le gouvernement transitoire».   

La Tunisie, «peuple frère» dont la France a «sous-estimé l’aspiration à la liberté». «Nous n’avions pas pris la juste mesure» de la colère «qui venait d’un sentiment d’injustice».

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