Dr Lilia Bouguira écrit – Nos blessés s’éteignent à petit feu et si nous continuons à faire bon dos, nous les perdrons et adieu la révolution car un peuple qui ne respecte ni ses morts ni les blessés pour sa cause ne doit pas vivre un jour dans la liberté.

Nadia Omrane écrit - Il convient de ne plus diminuer les journalistes dont le talent a explosé depuis la révolution. Il vaut mieux les écouter de crainte que d’un incident à l’autre, l’enchaînement des faits ne conduise à la montée des périls.

Fadhel Harzalli* écrit – Les conséquences des inondations désastreuses la semaine écoulée en Tunisie invitent à réfléchir aux moyens de prévenir, de se préparer et de gérer les risques naturels.

Monia Mouakhar Kallel* écrit – Et si Habib Kazdaghli, doyen de la Faculté des Lettres de Manouba, était la cause de tous les malheurs de l’université tunisienne voire de la Tunisie «nouvelle» ? Certains le pensent... sérieusement.

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