Soraya Hajjaji* écrit – Longtemps considérés comme des peuples soumis et acceptant le despotisme, les Tunisiens et les Egyptiens ont démontré, par leurs révolutions, qu’ils sont plutôt des peuples fiers, unis et épris de liberté.

Farouk Ben Ammar* écrit -  L’auteur n’a nullement l’intention de faire un cours de sciences politiques, mais quoi de mieux que d’entamer son article par ces deux préceptes : «Le peuple est le seul souverain » et «Vox Populi, Vox Dei».

Jamel Heni écrit - Le syndrome de la place rouge n’affectait pas uniquement les étudiants. Le corps enseignant en présentait aussi des symptômes.
D’abord une chose. Je remercie du fond du cœur une amie qui me faisait couler un bain de doute, par sa réaction au «syndrome de la place rouge».

Jameleddine Heni* écrit - Texte douloureux, désarmé devant un syndrome du rejet de l’autre, qui affecte toute la classe politique à quelques rares (très rares) exceptions !

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