L’armée nationale, les forces de sécurité et la garde nationale ont arrêté ces deux derniers jours à Gafsa une trentaine de personnes.

Que s’est-il passé à l’intérieur des frontières libyennes pour que le flux des réfugiés en provenance de ce pays en proie à une guerre civile se raréfie?

La solidarité des Tunisiens et des Tunisiennes avec les réfugiés qui affluent sur la zone frontalière avec la Libye en guerre impressionne les responsables des organisations humanitaires déployés sur place.

Selon une source sécuritaire, citée par l’agence Tap, 16 détenus ont pris la fuite, hier, de la prison Borj Erroumi, à Bizerte.