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Tunisie : Le 4e congrès national de lutte contre la corruption, les 8 et 9 décembre 2019 à Tunis

C’est sous le slogan «Lutte contre la corruption : un processus participatif» que se tiendra le 4e Congrès national de lutte contre la corruption, organisé par l’Instance nationale de lutte contre la corruption (Inlucc) les 8 et 9 décembre 2019 à Tunis.

Le programme de cette 4e édition du congrès commencera, le dimanche 8 décembre à la Cité de la Culture de Tunis à 10:30, par l’hymne national et des chansons patriotiques interprétées par la chorale du Club de la citoyenneté de l’Ecole primaire Ibn Khaldoun de Testour.

Suivront des allocutions d’ouverture de Chawki Tabib, président de l’Inlucc, Mohamed Zinelabidine, ministre des Affaires culturelles, et de Hatem Ben Salem, ministre de l’Education.

Au programme, ensuite, deux panels, dont le premier sur la « Participation communautaire et la lutte contre la corruption, vers un changement de comportement« , et le second sur la « Participation de la communauté à la lutte contre la corruption, rôle des adolescent(e)s« .

Les travaux du congrès se poursuivront, dans la journée du 9 décembre, à l’hôtel El Mouradi à Gammarth dès 9:00, avec l’inauguration d’une exposition de dessins sur la lutte contre la corruption, suivie de l’allocution d’ouverture de Youssef Chahed, chef du gouvernement en charge de la gestion des affaires courantes, de Chawki Tabib, président de l’Inlucc, et de Youssef Bouzakher, président du Conseil supérieur de la magistrature.

Les panels de cette 2e journée du congrès auront pour thèmes: « la Stratégie nationale de bonne gouvernance et de lutte contre la corruption, une approche participative pour la mise en œuvre des initiatives du plan d’action 2020 »; « la Responsabilité et la lutte contre l’impunité pour mettre en oeuvre la justice »; « la Déclaration des biens et des intérêts et la lutte contre les richesses illicites et les conflits d’intérêts: entre l’application et les défis »; et, enfin, « la Promotion de l’intégrité, au cœur des stratégies sectorielles ».

A. M.

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