Les cyber-activistes tunisiens ne se doutent de rien. Pour eux, la démocratie est à portée de clic. Elle est si simple, pourquoi donc la compliquer avec des histoires de listes électorales, de circonscriptions et d’article 15.


Moez Chakchouk, le Pdg de l’Agence tunisienne d’Internet (Ati), monte au créneau. La censure de l’Internet ne passera pas. Même celle des sites pornos.


Selon Riadh Ferjani, les journalistes de la première chaîne de télévision nationale manquent cruellement de professionnalisme. Quatre mois après la révolution, les signes du changement tardent à venir.


Suite à une décision de justice, tous les sites pornographiques devront être bloqués en Tunisie par l’Agence tunisienne d’Internet (Ati). Faut-il s’en émouvoir? Faut-il condamner?
Par Ridha Kéfi

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