hedi jilani
Dans une lettre ouverte aux Tunisiens, que son secrétariat nous a fait parvenir, Hédi Djilani, président de l’Utica, affirme n’avoir pas profité du pouvoir de Ben Ali, mais avoir subi ses pressions. L’enquête fera la lumière…

Samedi, la rue principale a été prise d’assaut vers 11 heures du matin par une foule de policiers. Ils étaient plusieurs milliers de policiers qui criaient: «Nous sommes innocents du sang des martyrs».

Dans ce message, Mohamed Darragi, un lecteur résidant à Montréal, au Canada, met garde les Tunisiens contre l’amnésie et les appelle à ne pas oublier les errements de ceux qui ont nui à leur pays.  

J’ai du me pincer plusieurs fois en regardant le journal télévisé de ces derniers jours sur la chaîne nationale. Est-ce possible? Faut-il y croire? Et si c’était un nouveau piège?

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