Les Tunisiens en sont désormais réduits à choisir entre les islamistes et les anciens pouvoirs, comme dans le slogan binaire et manichéen dont on nous a longuement gargarisé pour maintenir un statu quo qui s’est révélé suicidaire pour le pays.

Par Ali Guidara*

En réponse aux attaques de Beji Caid Essebsi lors de son meeting populaire à Tunis pour annoncer la création de son parti "Nida Tounes", le ministre des Affaires étrangères, Rafik Ben Abdessalem, a mis en garde l'ancien Premier ministre.

Après avoir condamné les artistes auteurs d’«atteinte au sacré», la présidence de la république s’est fendue aujourd’hui d’un communiqué pour défendre «la liberté de création artistique».

Les forces de sécurité ont arrêté samedi à Ezzahra (banlieue sud) deux salafistes jihadistes. Une 3e personne recherchée court encore dans la nature. Il s’agit d’un gérant au quartier Ezzahra Lycée.

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