«L’attaque contre le consulat de Tunisie à Benghazi par des extrémistes religieux n’aura aucun impact sur les relations tuniso-libyennes», a affirmé, mardi, Rafik Abdessalem, ministre des Affaires étrangères.

Pour le porte-parole officiel du Parti communiste des ouvriers de Tunisie (Pcot), la responsabilité de la «troïka» au pouvoir et du parti islamiste Ennahdha est entière dans la montée de la violence salafiste.

L’ancien président égyptien, en prison de Tora (sud du Caire) depuis le 2 juin, est, selon une source officielle, décédé mardi tard dans la soirée, suite deux attaques, cérébrale et cardiaque. D’autres sources ne confirment pas encore sa mort.

Le ministre de la Défense Abdelkrim Zbidi a fait part, mardi, à l’ambassadeur des Etats-Unis Gordon Gray des «besoins de l’armée tunisienne en aide logistique».

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