Les deux salafistes jihadistes marocains, refoulés mardi à leur arrivée à l’aéroport de Tunis-Carthage par la police des frontières, pourront revenir en Tunisie dans dix jours, avec l’aval du gouvernement.

Suite au rapatriement, mardi, de deux salafistes marocains, invités par Assalam, association caritative bizertine, a riposté en lançant des menaces contre… Ennahdha.

Après avoir promis au peuple de ne toucher qu’une partie de leur salaire et de déclarer leurs biens avant de prendre leur responsabilité, les 81 ministres du gouvernement provisoire (excusez du peu !) ont dit bye-bye à leurs promesses.

Le président italien a fait part de sa «vive sympathie» pour l’expérience démocratique engagée en Tunisie, et son «admiration» pour l’élan de liberté «amorcé en Tunisie pour s’étendre aux pays arabes».

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