Le chef du gouvernement a démenti, vendredi, les propos de son ministre de la Réforme administrative, mercredi, écartant la possibilité que le gouvernement accepte des augmentations salariales en 2012.

L’Ugtt refuse que l’année 2012 soit une «année blanche» où les conséquences de la crise sont supportées, uniquement, par les travailleurs et les catégories démunies.

Le chef du gouvernement provisoire part en guerre contre des «groupes», «usurpateurs des aspirations des Tunisiens pour la liberté et la justice», et qui font des «surenchères»!

Ils étaient venus, ils étaient tous là, à commencer par le cheikh Rached Ghannouchi, au premier rang, pour dire à Kamel Jendoubi et à son équipe: «Adieu et merci. Maintenant, on n’a plus besoin de vous».

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