Dans son mot d’ouverture du Congrès des Amis de la Syrie (Tunis 24 février), le président tunisien Moncef Marzouki a exprimé son refus catégorique quant à une intervention étrangère en Syrie. Et c’est le début d’un désaccord.


A l’entrée de l’hôtel Le Palace (Gammarth) qui abrite aujourd’hui le Congrès des Amis de la Syrie, plusieurs sympathisants du régime Al Assad ont été au rendez-vous manifestant leur colère. Pour qu’il y ait de l’ordre, il a fallu l’intervention de la police.

La syndicale ouvrière a appelé à un rassemblement samedi devant son siège à Tunis. Pour protester contre les agressions ciblant plusieurs de ses locaux.Et qu’elle attribue à des militants d’Ennahdha.

Des membres de partis républicain et démocrate conduits par le sénateur américain John McCain sont en visite en Tunisie. Pour renouveler leur soutien à la Tunisie.

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