Le poste frontalier tuniso-libyen Al Marsinya a été attaqué dimanche soir par un groupe de libyens à bord de 3 véhicules. Des unités de la sécurité tunisienne ont riposté.

Le président de la République a souhaité aux «politiciens français» qu’ils «n’utilisent pas trop la carte de l’islamophobie» en cette année électorale en France.

Les Libyens ont rendu, dimanche, les armes et la voiture confisquées aux Tunisiens. Qui, à leur tour, leur ont rendu le véhicule tout-terrain et les 3 hommes arrêtés la veille.

Le chef de poste des gardes frontières tuniso-libyennes enlevé samedi et blessé par balle au pied a été libéré dimanche et transféré à Tunis où il a subi une intervention chirurgicale.

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