Dans son discours de vendredi, à l’occasion de son investiture, le président de la république a rappelé le travail qui attend les Tunisiens pour instaurer des institutions démocratiques. Mission difficile, mais pas impossible.

Du côté de la rue Ali Darghouth, au siège du Congrès pour la république (Cpr), après les frictions intestines, les choses se précisent. En attendant la tenue du congrès le 8 janvier, l’homme de la situation provisoire est pour le moment Tahar Hmila.

C’est en grandes pompes que les habitants de Sidi Bouzid célèbrent samedi 17 décembre le déclenchement de la révolution. Au centre-ville, une brouette de bougies en hommage aux martyrs.

L’Association des diplomates tunisiens, fraîchement créée, se met en route. Après le visa, un congrès et des élections. Parmi les 11 candidats du bureau exécutif, 8 seront retenus.

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