La chambre des mises en accusation de la cour d’appel de Tunis a décidé, jeudi, la libération de l’ancien ministre du Transport, Abderrahim Zouari.

C’est le ministère de l’Intérieur qui sonne l’alarme. Outre le dialogue, il y aura d’autres moyens pour libérer les routes et rendre vie aux entreprises qui souffrent de cette situation.

Le verdict de la libération de l’ancien ministre est tombé le 3 août. Le lendemain, 500 personnes ont manifesté devant le tribunal de Tunis. Sous la houlette d’au moins 20 avocats.

Le ministère de l’Intérieur ne veut plus s’occuper des autorisations des journaux et des partis. Sur le projet, ça se discute.

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