La magistrature est devenue, depuis la révolution du 14 janvier, «totalement indépendante et seules la conscience et la loi ont un pouvoir sur elle», souligne le ministère tunisien de la Justice.

L’Association des magistrats tunisiens (Amt) appelle à la création d’un Conseil supérieur de la justice transitionnelle élu pour gérer les dossiers de la magistrature.

Me Abdelwaheb Maâtar, membre du bureau politique du Congrès pour la république (Cpr), plaide pour la création d’un tribunal constitutionnel chargé du contrôle de l’inconstitutionnalité des pouvoirs.

Le Parti démocratique progressiste (Pdp) déplore le «climat de suspicion», qui met en cause «la crédibilité de la justice tunisienne en cette période transitoire».

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