Le Conseil national pour les libertés en Tunisie (Cnlt) a condamné lundi la violence policière infligée aux contestataires lors de la dispersion des sit-inneurs de la Kasbah III.

Un couvre-feu a été décrété sur l’ensemble du gouvernorat de Sidi Bouzid, à la suite des troubles qui ont commencé dimanche et se sont poursuivis, lundi, dans les différentes délégations du gouvernorat.

Les deux partis islamistes ont affirmé à l’agence AP n’être pas concernés par l’accusation «des courants extrémistes religieux» d’être à l’origine de la flambée de violence qui a affecté plusieurs régions du pays.

Les fonctionnaires du ministère des Affaires étrangères sont solidaires avec leur collègue Khemaies Jhinaoui, voué aux gémonies pour avoir occupé un poste diplomatique en Israël.

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