Akram Belkaïd* écrit – Un régime ne reculant devant aucun crime, des sanctions internationales inefficaces, une intervention militaire impensable… Le drame syrien présente tous les risques d’un enlisement.

«Droits de l’homme et développement dans le sillage du Printemps arabe», éditorial de Navi Pillay, Haut commissaire des Nations unies aux droits de l’homme, à l’occasion des Journée des droits de l’homme, le 10 décembre.

Abdallah Jamoussi – Pour éviter l’émiettement du pays, rétablissons l’équilibre entre les pouvoirs. Pas d’hégémonie présidentialiste ou parlementariste. La solution serait dans un régime équilibré et modéré.

Jamel Heni propose deux interventions très pertinentes de jeunes facebookers tunisiens. Tout y est dit et il n’y a rien à ajouter, sauf un supplément d’admiration !

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