Mohamed Sadok Lejri* écrit – La Tunisie n’a aucunement besoin de gens de mon acabit. De polygames francophones par-dessus le marché… le comble !

Nadia Omrane écrit – Le nouveau personnel politique est-il en mesure de mettre au travail ses compétences, alors que les Tunisiens, amers ou déçus, recherchent la bonne gouvernance démocratique désespérément ?

Rafik Souidi écrit – La Tunisie est donc sur de bons rails pour arriver à bon port. Mais la tâche qui attend les nouvelles autorités sera d’autant plus ardue qu’en démocratie les erreurs se payent au comptant.

Mohamed Ben Mosbeh* écrit – Les réseaux sociaux qui ont contribué au déclenchement de la révolution en Tunisie sont devenus un espace de manipulation, de diffamation et de règlement de compte.

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