Fathi B’Chir* écrit - Les urnes ont parlé. Il vaut mieux être aujourd’hui un bon musulman. Si on ne l’est pas vraiment, il suffit de le laisser paraître. Pour être en phase avec « le 23 octobre », les Tunisiens ont inventé la «zabiba»1 effaçable…

Mohamed Aymen Lahmar* écrit - Après une guerre, ce sont les vainqueurs qui écrivent l’histoire. Après des élections, qui écrira la constitution ? Il ne s’agit pas de rhétorique mais d’un vrai questionnement.


Abderrazak Lejri
* écrit – Les conditions d’efficacité de la nouvelle instance permanente et indépendante pour les élections.

Akram Belkaid* écrit - La Tunisie, ce n'est pas l’Algérie des années 1990. Et pourtant des similitudes existent. Même si beaucoup d’eau a coulé sous les ponts…

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