Maâtallah Gleya* écrit – Le but de la révolution du 14 janvier est de sauvegarder les acquis de la république et d’inscrire la nouvelle constitution dans une société démocratique, où le fanatisme n’a pas de place.

Rachid Merdassi écrit – Nos élites, médias et partis politique, qui ont confisqué la révolution des jeunes et des régions, n’ont pas droit à l’erreur et aux calculs politiciens égoïstes.

Naceur Ben Frija écrit - Pour sortir de la transition avec certitude, en sachant vers quoi l’on se dirige, je suggère que l’on vote, le 23 octobre, pour l’élection d’un parlement au lieu et place d’une constituante.

Houda Ben Amor écrit – En Tunisie le vote n’est pas obligatoire, c’est simplement un acte volontaire. Mais obligeons-nous tous à exercer notre droit!


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