Comment dissoudre le Parlement sans violer la constitution ? Abbou présente sa «recette» à Saïed

Une grande partie des Tunisiens en a ras-le-bol de la mandature parlementaire actuelle, une véritable machine à scandales, qui ne fait qu’empirer les crises politique, économique et sociale par lesquelles passe le pays. Ces Tunisiens ne souhaitent pas attendre 2024 pour que les choses changent à travers les élections. Mais comment peut-on dissoudre le Parlement, qui jouit d’une légalité constitutionnelle, sans enfreindre les lois du pays ? Mohamed Abbou pense en avoir la solution. Par Cherif Ben Younès

Crise de nerfs à l’assemblée : de maison à raison close

Nabil Karoui est en train d’assumer une lourde responsabilité dans le prestige que Seifeddine Makhlouf et son parti sont en train d’accumuler en tant qu’alternative défiant ouvertement et impunément l’Etat et dont la caution est nécessaire au faible gouvernement de Hichem Mechichi pour l’approbation du projet de la loi des finances 2021. Par Dr Mounir Hanablia *

Menacé de mort par un partisan d’Al-Karama, le journaliste Sarhane Chikhaoui porte plainte contre Makhlouf pour incitation à la violence

Le journaliste Sarhane Chikhaoui, a annoncé hier, jeudi 9 décembre 2020, avoir porté plainte pour incitation à la violence contre Seifeddine Makhlouf, président du bloc parlementaire Al-Karama, qui l’a insulté et agressé au parlement alors qu’il couvrait la plénière avant-hier, tout en affirmant avoir été menacé de mort par un partisan de cette coalition.

Les magistrats prolongent leur grève de 2 jours en attendant un «accord final» avec le gouvernement

Dans un communiqué rendu public ce jeudi 10 décembre 2020, le bureau exécutif de l’Association des magistrats tunisiens (AMT) a annoncé la prolongation de la grève des magistrats de deux jours supplémentaires, soit jusqu’à demain, et ce, en attendant qu’un accord final avec le gouvernement soit trouvé.

Santé en Tunisie : Un secteur qui coule malgré les cris de détresse

L’accident tragique de la chute dans la cage d’ascenseur d’un hôpital public, qui a coûté la vie à un jeune médecin, Badreddine Aloui, est un drame terrible pour la communauté médicale ainsi que pour l’ensemble des Tunisiens qui déplorent la perte d’un médecin dont la seule ambition était de sauver la vie de ses concitoyens. Face à ce drame, tout le corps médical s’est révolté et a exprimé sa profonde indignation lors d’une journée nationale de colère, le lundi 8 décembre 2020. Par Dr Kaissar Sassi *

Le Budget 2021 : soins palliatifs pour la Révolte du Jasmin?

La Tunisie ne mérite pas le déshonneur que lui inflige le Budget de l’Etat pour 2021! Si la Révolte du Jasmin a promis aux Tunisiens la prospérité et la dignité, les 10 gouvernements successifs et les 443 ministres qui ont gouverné le pays depuis 2011 l’ont plongé dans un capharnaüm sans précédent. Au lieu de la prospérité, l’État post-2011 a généré de la pauvreté, au lieu de la dignité, l’avilissement et au lieu de l’apaisement sociopolitique, c’est la violence au sommet de L’État et sur les bancs de l’Assemblée. Ce lamentable bilan est reflété, chiffres à l’appui, par le Budget...

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