Étiquette : hôpitaux publics

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Covid-19 : Entre Saber Rebai, Abdellatif Mekki et Ennahdha

Il serait malvenu d’exiger de l’actuel ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, de résoudre en l’espace de deux semaines tous les problèmes hérités de plusieurs décennies de mauvaise gestion et de gabegie dans le secteur des hôpitaux publics. On peut cependant lui reprocher de s’être consacré à la gestion politique de la communication de crise,...

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Crise de la santé : Et si on parlait aussi de la responsabilité des patients ?

Le secteur de la santé publique en Tunisie est malade, mais les responsables ne sont pas seulement les principaux acteurs de ce secteur (gestionnaires des hôpitaux publics, médecins, responsables des caisses sociales…). Ce sont aussi les usagers, c’est-à-dire les patients, qui, souvent, coupent la branche sur laquelle ils sont assis. Par Mohamed Habib Salmouna *

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Comment sauver le secteur de la santé publique en Tunisie sans dépenser de l’argent ni provoquer un conflit d’intérêt ?

Pour sauver le secteur de la santé publique en Tunisie, l’auteur propose cinq solutions pratiques, qui ne coûteront pas de l’argent à l’Etat et ne provoqueront aucun conflit d’intérêt. Elles seront traduites par des mesures urgentes, efficaces à court, moyen et long termes. Par Kaissar Sassi *

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La médecine libérale en Tunisie entre racket et chantage ?

Les patients tunisiens se consolaient comme ils peuvent en pensant qu’entre les périls avérés des hôpitaux publics et les honoraires indécents pratiqués par la médecine libérale, ils n’ont pas d’autre choix que de se livrer pieds et poings liés à cet ignoble chantage à la santé. Par Yassine Essid

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Tunisie : L’ordre des médecins ne s’explique pas le tollé provoqué par la nouvelle grille des honoraires des médecins

L’annonce hier soir, mardi 11 juin 2019, par le Conseil national de l’Ordre de médecins (Cnom) de la nouvelle grille des honoraires des actes médicaux dans le privé fait grincer des dents… Si certains médecins affirment que les prix sont élevés, ils estiment que c’est aux caisses d’assurance «de mieux rembourser». Par Yüsra Nemlaghi