La glace entre Ennahdha et les syndicats fondra-t-elle enfin avec la visite, samedi, de Rached Ghannouchi, président du parti islamiste tunisien, au siège de la centrale ouvrière, Place Mohamed Ali à Tunis ?

En quittant, vendredi, l’Etablissement de la Télévision nationale, certain(e)s journalises ont eu droit, de la part des sit-inneurs pro-Ennahdha, en plus des insultes habituelles, à des menaces plus graves : l’arrosage au vitriol («Mé fark»).

Parmi les 6000 mosquées du pays, 400 sont tombées, en quelques mois, dans les mains des extrémistes religieux. Ces derniers sont en train de remplacer – par la force – les imams malékites par les leurs.

«Les forces de sécurité tunisiennes sont astreintes aux principes républicains et ne protègent aucune appartenance politique ou catégorie particulière».

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