Selon Moncef Marzouki, leader du Congrès pour la république (Cpr), les islamistes d’Ennahdha avec qui, il compte s’allier, sont loin d’être des diables.

Le Congrès pour la république (Cpr) a assuré mercredi les Tunisiens que son parti va être le garant de la modernité. Et que personne n’aura dorénavant le droit de franchir les lignes rouges.

Angela Merkel a félicité le peuple tunisien «pour ce premier scrutin libre et loyal en Tunisie depuis l’indépendance du pays en 19».

«Nous n’avons pas droit à la faute et nous prendrons le temps qu’il faut pour écrire une constitution valable pour les 100 ans à venir», a dit Moncef Marzouki.

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