La Tunisie, qui traverse aujourd’hui une grave crise politique, aurait pu se passer du malentendu provoqué par le représentant de la Commission européenne à Tunis. Mais le mal est fait…

Plusieurs régions du gouvernorat de Gafsa (sud-ouest) ont connu, vendredi, des violences. Ce qui a poussé le gouverneur de la région de décréter le couvre-feu dans la ville de Metlaoui, de 20h à 5h du matin.

Les forces de l’ordre ont dispersé vendredi, de manière musclée, quelque 200 manifestants sur l’avenue Habib Bourguiba, dans le centre-ville de Tunis. Une quinzaine de journalistes ont également été agressés.

La Haute instance pour la réalisation des objectifs de la révolution, de la réforme politique et de la transition démocratique, s’est déclarée préoccupée par la situation générale qui prévaut dans le pays.

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