La Tunisie qualifie le pilonnage par les forces libyennes de la ville frontière de Dehiba d’«extrêmement dangereux» et prévient qu’elle prendrait toutes les mesures nécessaires pour garantir sa souveraineté.

L’histoire dira si l’ancien ministre de l’Intérieur avait eu raison de faire les révélations qu’il a faites. Il a eu beau se rétracter et recadrer ses propos: le coup était parti. Et il ne lui reste qu’à en subir les contrecoups.


Sera finalement privée d’élection toute personne qui a assumé des responsabilités au sein du gouvernement de Ben Ali, tout en étant membre de son parti, le Rassemblement constitutionnel démocratique (Rcd, dissous).

Après les déclarations de Farhat Rajhi, ancien ministre de l’Intérieur, à propos d’un «coup d’Etat militaire» qui serait en préparation en Tunisie, l’armée nationale a réagi vivement et agité la menace de poursuites judiciaires.

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