Tarak Arfaoui écrit – C’est ce qu’on dira peut-être, dans quelques mois, après les élections, quand les forces obscurantistes et les extrémistes de tous bords auront fait main basse sur l’électorat tunisien passif, peu mobilisé et traditionnellement «khobziste».

Ali Ben Mabrouk écrit – il y a une frange de la société veut semer le désordre. Des gens comme Rajhi qui cherchent à semer la discorde entre les Tunisiens. Mais ils n’iront pas loin…

Ridha Neffati * écrit - La révolution tunisienne était imprévisible, sans leadership politique, ce qui a certainement contribué à son succès, à sa survie, mais l’a également fragilisée. Comment aider la révolution à se poser dans un champ politique tunisien encore en construction ?

Stéphane Ghozzi écrit de France – Lettre ouverte aux révolutionnaires tunisiens qui, avec leurs manifestations incessantes et stériles, leurs revendications sans limites et exigences jusqu’au-boutistes, ne sauvent pas la révolution, mais la tuent.

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