Dr Rafik Mzali écrit – «Le voyage à 20.000 lieues sous les mers» de la dépouille de Ben Laden aurait fait faire la fête jusqu’au matin à Georges W. Bush avec Condoleezza Rice au piano. Mais pas Obama!

Stéphane Ghozzi écrit – Une offre d’emploi décalée, comme la campagne de publicité réalisée récemment par l’Office national du tourisme tunisien (Ontt) pour relancer la destination Tunisie.

Ali Ben Mabrouk écrit – Décidément, 2011 commence mal pour les leaders sanguinaires arabes. Après Ben Ali, Moubarak et Ben Laden, tous «finis», d’autres  sont sur des sièges éjectables: Kadhafi, Assad et Salah.

Ridha Neffati * écrit - La révolution tunisienne était imprévisible, sans leadership politique, ce qui a certainement contribué à son succès, à sa survie, mais l’a également fragilisée. Comment aider la révolution à se poser dans un champ politique tunisien encore en construction?

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